Wingsuit
C'est un fabricant américain, Tonysuits qui a mis en place le fameux wingsuit. Depuis la création du premier prototype en 1994 par le Français Patrick de Gayardon, de plus en plus de parachutistes sont devenus adeptes de cette combinaison de saut. elle est composé de deux couches de tissu à mailles très serré l'une contre l'autre et 100% étanche.
Lors de la chute d'un avion, d'un hélico ou du'une falaise le tissu se gonfle d'air, comme un ballon on peut alors commencé a voler comme oiseau !
Non je rigole, pas comme un oiseau parce que on ne peut pas prendre d'altitude mais au moins on plane un moment avant d'ouvrir son parachute.
la decente est assez rapide mais on est largement satisfait vu le niveau de sensation forte que ça procure : le record de vitesse est de 270 km/h.
C'est quand meme quelque chose de dangereux et il faut beaucoup de pratique pour pouvoir sauter, en France il faut avoir fait 150 sauts en chute libre et pourtant c'est le pays le plus souple car aux USA ils demandent 200 sauts et en Grande-bretagne 400 !
L'exploit !
Le 23 mai 2012, le cascadeur Gary Connery a sauté d'hélicoptère en wingsuit et a atterri 730m plus bas sans ouvrir son parachute !
Quand il a sauté la météo était parfaite : bonne visibilité, faible vent, faibles turbulences. De là-haut la piste d'atterissage avait pour lui la taille d'un paquet de cigarette.
Il saute.... le visage tourné face au sol, plonge vers l'avant et au bout de 3 secondes, l'air s'est engouffré dans la combinaison, il l'a et en tension en écartant bras et jambes, puis vole !
En réalité il est juste entrain de tomber au ralentie pendant 40 sec et la wingsuit se comporte comme une aile d'avion. Pour changé sa trajectoire il modifie la posture de son corp, déplacant son centre de gravité par des mouvements de bassin, en écartant plus ou moins les bras et les jambes et en s'inclinant vers la droite ou la gauche.
Ce qui est compliqué est de gardé la stabilité parce que il faut se battre contre la résistance de l'air comme quand on passe la main par la fenetre quand on va vite en voiture. En plus il faut empecher les ailes de se replier tout en maintenant la tension de tissu entre les bras et les jambes, ce qui demande des abdos et des dorsaux en béton.
Avant d'atterrire, il allait beaucoup trop vite ( 160 km/h ) donc pour freiner il se redresse presque à la verticale pour se positionner comme un avion à l'atterrissage et courbe les bras pour faire un "ballon" et engouffrer un maximum d'air.
La piste d'atterrissage en est réalité 18 600 boites de cartons empilées sur 100m de long, 15m de large et 4m de haut dans un champ a l'ouest de Londres.
Bref... il s'en ai sorti sans égrarignure !
Mon avis: c'est une activité génial pour les fans de sensation fortes ! Je le ferai un jour !
Source: Science et vie junior nº278 page 40
CHARLOTTE VALOT 3B
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