Top 3 des destinations fatales
Voici quelques lieu a éviter pour vos vacances, a moins
d’aimer flirter avec la mort…
Quels sont les pires coins pour…
Une thalasso ?
Au parc de Yellowstone (États-Unis). Partez tremper un pied dans une des sources chaudes présentes, et vous n’en ressortirez même pas un os !
Une des dernières mortes eut lieu le 7 juin 2015. Un jeune homme inconscient, Colin Scott, aurait glissé dans un des sources après avoir quitte le chemin.
Les gardes du parc partis à sa recherche n’ont retrouvé qu’une paire de tongs!
Selon eux, il serait mort ébouillanté dans une eau à 100 *C, avant d’être dissous dans le liquide acide…
Yellowstone est apparue a la verticale d’un gigantesque cratèrede volcan endormi (45 km de large sur 85 km de long).
Les gaz volcaniques se sont insinué au travers des failles souterraines et sont parvenus jusqu’aux sources.
Mais, écrasés par la masse liquide, les gaz n’ont pu remonter à la surface et se sont dissous dans l’eau, la rendant alors plus corrosive qu’une batterie de voiture!
Bronzer
en maillot ?
À la station Vostok (Antarctique). Vous pourriez mourir de froid en un éclair.
“En moins de dix minutes, vous tomberiez dans un coma qui serait probablement mortel”, resume Paul Laforêt, médecin des Terres australes et antarctiques françaises...
Balayée par des vents glaciaux, cette station scientifique russe se trouve à près de 3500 mètres d’altitude, sur un plateau de glace à1250 km du Pole Sud.
Bien en hauteur, la zone enregistre en plein été des températures quasiment 30Cs en dessous de zéro! Et ne parlons même pas de l’hiver où la température moyenne s’abaisse vers les -60 *C…
La station détient même un record, celui de la plus basse température jamais relevee sur Terre: -89.2*C, le 21 juillet 1983.
Une douzaine de scientifiques passent l’hiver dans la station, bien à la chaux, ne mettant que le pied dehors pour mesurer quotidiennement les températures, les vents et les variations magnétiques.
Faire
de l’accrobranche ?
Sur l’île de Queimada Grande (au large du Brésil). Des milliers de serpents au venin mortel se cachent dans les arbres.
Dans les zones qui lui sont propices, on peut retrouver 1 serpent par metre carre !
Soit 2500 reptiles sur un rocher de 1.5 km de long et 650m de large. Au seul endroit ou un canot peut débarquer, un panneau indique : “DEBARQUEMENT INTERDIT”.
Le danger, c’est le reptile insulaire (ou jararaca-ilhoa), une espècequi n’existe que sur l’ile, de la même famille que les vipères. Une seule morsure, et la victime rend l’âme en moins d’une heure !
Seules sont autorisées sur Queimada Grande les expéditionsmilitaires destinées à changer les batteries du phare de l’ile (non habite, bien sur), ou celles de scientifiques charges d’élaborer des serums antivenimeux.
Pour ces chercheurs, cette densité est une aubaine : elle facilite leur récolte. En étudiant la composition de leur poison, ils espèrent confectionner des traitements plus efficaces contre les serpents du continent, responsables de la majorité des morsures au Brésil.
Ce minuscule ilot fit séparer du continent il y a 11000 ans, quand le niveau de la mer a monté.
Les trigonocéphales ont ainsi étépris au piège, mais pas leurs prédateurs.
Bénéficiant d’un garde-manger inépuisable - les oiseaux migrateurs faisant halte sur l’ile – ils ont prosperés jusqu’à aujourd’hui.
NOE MILLANCOURT, 3*B
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