Les êtres humains sont capables de détecter plus de mille milliard d'odeurs mais ils sont largement battus par les canidés (chiens, loups, chacals etc).
On peut expliquer cela par le fait que la taille de la cavité olfactive du chien soit 30 fois plus développée que celle de l'Homme. Les molécules odorantes restent donc plus longtemps dans l'appendice, ce qui permet au chien de retrouver une odeur à 210 kilomètres à la ronde. De plus, pour un homme, l'air et les odeurs se mélangent dans ses fosses nasales alors que le chien, lui, possède deux cornets dont un qui récupère uniquement les molécules odorantes ce qui permet une analyse des odeurs beaucoup plus pointue.
La supériorité de l'odorat des canidés s'étend jusqu'au niveau cellulaire : le nez d'un chien comprend 230 millions de cellules olfactives alors que le nez d'un humain n'en comprend seulement entre 5 et 40 millions.
L'odorat des chiens a déjà été mis au service des domaines militaires, de la répression médicale et à présent, des chercheurs de la Pine Street Foundation en Californie ont entraîné cinq chiens à détecter le cancer du sein et du poumon à partir de la respiration des patients. Les résultats de cette expérience ont révélé entre 88% et 99% d'exactitude.
D'autres tests ont montrés que les chiens pouvaient aussi détecter le cancer de la prostate et de la vessie dans l'urine des patients.
Même si les chiens ne remplaceront jamais les examens médicaux, ils pourraient avoir un grand rôle à jouer dans le dépistage!
On peut expliquer cela par le fait que la taille de la cavité olfactive du chien soit 30 fois plus développée que celle de l'Homme. Les molécules odorantes restent donc plus longtemps dans l'appendice, ce qui permet au chien de retrouver une odeur à 210 kilomètres à la ronde. De plus, pour un homme, l'air et les odeurs se mélangent dans ses fosses nasales alors que le chien, lui, possède deux cornets dont un qui récupère uniquement les molécules odorantes ce qui permet une analyse des odeurs beaucoup plus pointue.
La supériorité de l'odorat des canidés s'étend jusqu'au niveau cellulaire : le nez d'un chien comprend 230 millions de cellules olfactives alors que le nez d'un humain n'en comprend seulement entre 5 et 40 millions.
L'odorat des chiens a déjà été mis au service des domaines militaires, de la répression médicale et à présent, des chercheurs de la Pine Street Foundation en Californie ont entraîné cinq chiens à détecter le cancer du sein et du poumon à partir de la respiration des patients. Les résultats de cette expérience ont révélé entre 88% et 99% d'exactitude.
D'autres tests ont montrés que les chiens pouvaient aussi détecter le cancer de la prostate et de la vessie dans l'urine des patients.
Même si les chiens ne remplaceront jamais les examens médicaux, ils pourraient avoir un grand rôle à jouer dans le dépistage!
Le Saint-Hubert :
Parmi les milliers d'espèces de chiens différentes qui existent, le Saint-Hubert est le meilleur pour détecter une odeur!
Leur nez est mille fois plus réceptif que celui d'un humain, il est en effet capable de détecter une cuillère à café de sucre noyée dans 4 millions de litres d'eau! Ils peuvent aussi traquer une odeur sur plus de 210 kilomètres, et même au dessus de l'eau.
Ce sont aussi les meilleurs pour trouver des drogues de contrebande, lorsqu'ils sont formés à reconnaître leurs odeurs, et à réagir face à des personnes ou des bagages ayant cette odeur.
Mon avis :
J'ai trouvé très intéressant de voir à quel point l'odorat des chiens était développé et comment pouvait être utilisé cet odorat très développé.
Léa BURÉ 3°A
Comment ça marche, n°53
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire