L’Atmosphère, véritable bouclier
Cette enveloppe de gaz d'environ 100 km d’épaisseur englobe totalement la Terre. Sans elle, nous n'aurions pas d’oxygène a respirer. Mais c'est loin d’être le seul service qu'elle nous rend...
Elle nous empêche de grelotter :
Dans l'espace, les températures tombent jusqu’à -270*C. Rien ne peut naître ou vivre a des températures pareilles, même pas la plus petite trace de vie. Ceci dit, le Soleil nous chauffe bel et bien, mais malgré tout, la température sur Terre frôlerait les -18*C en moyenne. Or, elle tourne plutôt autour des 15*C. C'est grâce a l'effet de serre qui bloque les rayons solaires infrarouges dans la couche atmosphérique, ce qui réchauffe la surface terrestre.
Elle disperse les astéroïdes :
Les étoiles filantes que nous observons la nuit sont en réalité des météorite que la Terre croise pendant sa course autour du soleil. Ce sont des objets d'une taille moyenne de 15 cm et de 10 kg pouvant provoquer des dégâts énormes en s’écrasant. Heureusement, il sont totalement pulvérises par une "flambée" qu'ils subissent en se frottant aux molécules atmosphériques. Sous l'effet de la chaleur, ils finissent par éclater et tombent a fragments sur le sol, faisant le bonheur des chercheurs de météorites. Les plus gros, pouvant raser une maison entière et/ou tuer plusieurs personnes, finissent eux aussi par s’échauffer et provoquent des explosions spectaculaires, en altitude, heureusement. Ils sont ainsi a peu près 200 a se consumer plus ou moins dans l’atmosphère.
Elle nous protège des coups de soleil fatals :
A haute altitude (entre 20 et 40km), la couche d'ozone est une sorte de super crème solaire qui nous empêche de flamber façon barbecue. La molécule d'ozone O3 (formée de 3 atomes d’oxygène) bloque en effet les rayons ultraviolets du type C (UVC), les plus énergétiques. Elle arrête aussi une bonne partie des UVB, un peu moins riches en énergie (mais qui filent quand même des "coups de soleil") et laisse plus largement passer les UVA, responsables du bronzage. Si les UVC n’étaient pas stoppés (au prix des molécules d'ozone qui sont détruites dans l’opération), nous serons obligés de nous protéger en permanence du soleil, sous peine de subir des brûlures et des cancers de la peau a la pelle ! Car les UVC (et les UVB, mais en partie moindre) ont la capacité d'endommager le code génétique de nos cellules de la peau, les forçant a "s’autodétruire" pour éviter que ces dernières deviennent des cancers.
A haute altitude (entre 20 et 40km), la couche d'ozone est une sorte de super crème solaire qui nous empêche de flamber façon barbecue. La molécule d'ozone O3 (formée de 3 atomes d’oxygène) bloque en effet les rayons ultraviolets du type C (UVC), les plus énergétiques. Elle arrête aussi une bonne partie des UVB, un peu moins riches en énergie (mais qui filent quand même des "coups de soleil") et laisse plus largement passer les UVA, responsables du bronzage. Si les UVC n’étaient pas stoppés (au prix des molécules d'ozone qui sont détruites dans l’opération), nous serons obligés de nous protéger en permanence du soleil, sous peine de subir des brûlures et des cancers de la peau a la pelle ! Car les UVC (et les UVB, mais en partie moindre) ont la capacité d'endommager le code génétique de nos cellules de la peau, les forçant a "s’autodétruire" pour éviter que ces dernières deviennent des cancers.
Noe Millancourt, SVJ #326
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