samedi 28 janvier 2017

Avant l'apesanteur, l'entraînement sous-marin.

Le 16 novembre 2016 Thomas Pesquet est parti pour six mois dans l'ISS mais comment s'est-il entraîné ?

Pour commencer, qui est Thomas Pesquet ?
C'est un astronaute français de 38 ans dont les très nombreuses qualités lui ont permis de partir dans l'espace : il est très sportif, il est polyglotte ...
Il est en réalité ingénieur aéronautique et pilote d'avion. C'est en 2009 qu'il a été choisi (sur 8000 candidats) par l'agence spatiale européenne pour devenir astronaute. C'est le 10ème astronaute français à rejoindre l'ISS. Il a été choisi pour son mental et sa facilité à mémoriser les choses.

Pourquoi était-il dans l'eau ?
Thomas Pesquet était à Houston au centre de formation de l'Agence spatiale américaine sur cette photo. Il était donc en train de s'entraîner dans cette piscine géante où l'on ressent l'apesanteur puisque dans l'eau on flotte un peu comme dans l'espace. Ce n'est pas le seul entraînement qu'a dû faire l'astronaute : il est aussi allé en Sibérie pour faire un entraînement de survie et a été dans une centrifuge qui recrée la sensation d'accélération au décollage de la fusée.


Pourquoi porte-t-il cette combinaison ?
Il est équipé d'une combinaison qui, une fois dans l'espace lui permettra de respirer et de résister à des températures pouvant aller de -150 à +150 °C. Sur Terre il faut aux astronautes deux heures pour mettre la combinaison de 150kg mais une fois en apesanteur c'est beaucoup moins lourd, heureusement pour eux ! La combinaison est reliée par un long cable à l'ISS et dispose du matériel d'entretien au complet : lampes, outils, ...


Quelle est cette machine à côté de Thomas Pesquet ?
C'est la reproduction en vrai grandeur de l'ISS, elle a juste été mise différemment parce qu'en réalité elle mesure 110m de long et 73m de large alors ce n'était pas possible de la faire rentrer dans la piscine !
Cet article m'a beaucoup plu parce que je ne savais pas grand chose sur l'entraînement des astronautes et il m'a donc appris beaucoup.

Anaëlle RAMBAUD 3eA
D'après Okapi n°1034 du 15 novembre 2016
Article "De la mer à la Lune" p 18-19


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