

Après plusieurs siècles (250 av. J-C), le grec Archimède a trouvé que π était égal à environ 3,14. Pour trouver ce résultat il a utilisé des polygones à 6, 12, 24, 48 et 96 côtés parce que plus les côtés d'un polygone régulier sont nombreux plus ce polygone ressemble à un cercle. Il a ensuite comparé les dimensions de chacun et en a déduit π.
Certains mathématiciens ont continué les calculs d'Archimède sans calculatrice ni ordinateurs pour déterminer une à une les décimales de π. Certains y ont même consacré toute leur vie.

π est un nombre irrationnel : ses décimales se suivent jusqu'à l'infini sans logique précise. On peut alors trouver n'importe quelle suite de 5 ou 6 chiffres. Peut-être qu'on pourrait trouver des suites de 100 chiffres ! On dirait alors que π est un nombre univers, mais pour en être sûr il faudrait le calculer jusqu'à l'infini !

Le record est détenu par un Indien qui a appris par cœur les 70 000 premières décimales et les a ensuite récitées pendant 17h pour entrer dans le livre des records !
Aujourd'hui d'énormes ordinateurs continent à calculer π et en novembre 2015 le nombre de décimales dépassait les 22 000 milliards !
Il existe même un jour de π : Le 14/03 qui en Anglais s'écrit 3/14 !
Cet article m'a beaucoup intéressée parce que ce nombre est connu de tous jusqu'à la deuxième décimale mais personne ne sait vraiment ce qui se trouve après.
Anaëlle RAMBAUD 3°A
D'après "Pi, un nombre de folie" p 18-19
Okapi n° 1042 du 15 mars 2017
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