dimanche 26 mars 2017

Doit-on arrêter de manger du Nutella ?

  • Est-ce que arrêter de manger du Nutella serait-il bon pour l'environnement ?
Oui, bien sur, mais dans ce cas, il faudrait aussi arrêter de consommé de nombreux autres produits. Le vrai problème n'est pas la noisette qui représente seulement 13% des composants, mais l'huile de palme. Elle entre jusqu'à 30% dans sa composition. Or cette huile a un impact sur l'environnement. Près de 9 millions d'hectares de forêt ont déjà été rasés depuis 1990 pour pouvoir cultiver le palmier à huile.

  • Un Nutella sans huile de palme est-il possible ?
Oui, d'autres pâtes à tartiner n'en utilisent pas, et la remplace le plus souvent par de l'huile de tournesol. Le problème est que l'huile de palme apporte au Nutella une onctuosité et une stabilité qui l'a rend meilleure. De plus, elle présente très peu de risque d'allergie et se conserve parfaitement bien. Elle résiste enfin à la chaleur, à la lumière et à l'oxygène, ce qui n'est pas le cas des autres huiles.
  • Peut-on penser à une huile de palme durable ?
Il existe en effet des plantations non issues des déforestation, mais elles ne représentent rien par rapport à l'immense majorité des monocultures de palmiers.

  • Le Nutella est-il si mauvais pour la santé ?
Et bien oui, car s'il est consommé en excès, il peut s'avérer dangereux pour la santé. Ceci s'explique par la forte concentration en matière grasse dans le Nutella. Dans une seule cuillère de Nutella, on retrouve plus de 70% d'huile et de sucre. Ainsi, il y a plus de calories dans 100 grammes de Nutella que dans un Big Mac! De plus, on peut se douter que le Nutella n'est pas pour rien dans l'épidémie d'obésité dans les pays développés.

Avis personnel : J'ai adoré cet article, parce qu'aujourd'hui presque tout le monde adore le Nutella, et cet article peut nous faire changé d'avis au sujet de cette pâte à tartiner, et nous faire réfléchir. J'ai donc décider de partager cet article, car je connais plusieurs personnes qui adorent en manger.

Science et Vie Junior, Octobre 2015, numéro 313, pages 20-23

Anastasia Dorange, 3A

Plus d'orques en captivité :


  • Est-ce vrai ?
Et bien oui, mais ça ne sera pas pour tout de suite et pas partout dans le monde. En mars dernier, la compagnie SeaWorld, qui possède 3 parcs aux Etats-Unis, a annoncé qu'elle n'aurait plus d'orques en captivité. Bien sur, ils ne seront pas abattus ni remis en liberté. Ils vont donc attendre qu'ils s'éteignent tout seuls, mais sachant qu'un orque vit environ 50 ans, il y en a encore pour longtemps. Mais, malheureusement, dans les autres parcs, rien ne devrait changer. Cette décision concerne seulement les 3 établissements de SeaWorld.

  •  Pourquoi cette décision ?
Cette décision a été prise à la suite d'un documentaire intitulé Blackfish, qui a dénoncé les conditions de vie des orques en captivité. Ce document rapporte qu'ils sont dressés afin de reporter de l'argent aux parcs, et sont enfermés dans un bac à poisson.

  •  Pourquoi est-ce si difficile de détenir des orques en captivité ?
Parce que les conditions de vie dans un bassin, ne sont pas adaptées pour de si grands mammifères. Il est difficile de reproduire avec précision les conditions de vie dans lesquelles les orques vivent en liberté. Une preuve en est l'affaissement de l'aileron dorsal des mâles, ce qui arrive quasiment jamais dans la nature.


  • Ça ne sert vraiment à rien de les garder en captivité ?
Les avis sont mitigés. Les scientifiques sont tous d'accord pour dire que la captivité n'est pas adaptée aux besoins des orques, mais certain avoue aussi que la captivité permet de les étudier de près et d'observer leur intelligence.





Avis personnel : j'ai bien aimé cet article car il m'a fait réaliser plusieurs choses. Je comprends maintenant que c'est bien d'observer de si grands mammifères en captivité, mais que ce n'est pas bon pour leur bien être.

Science et Vie Junior, Septembre 2016, numéro 324, pages 20-23

Anastasia Dorange, 3A

La révélation des secrets de Pluton :


Pluton était la dernière planète encore inconnue du Système solaire. Elle n'avait pas encore été vu de près, mais désormais elle a un visage. C'est grâce au satellite New Horizons, qui après neuf ans de voyage, lui rend visite. À 5 milliards de kilomètres de la Terre, le 14 juillet 2015, New Horizons photographie le visage de Pluton pour la première fois. Depuis, les images sont parvenues à la Nasa. L'émotion chez les astronomes était présente car certains attendait l'événement depuis 1990, lorsque cette mission a été conçue. Mais certains se demandent pourquoi s'intéresser à une planète, plus petite que la Lune et dont les températures varient entre -201°C et -240°C. Et bien, d'après les physiciens, cette minus de 2360 km de diamètre en vaut bien la peine. Découverte seulement en 1930 par l'Américain Clyde Tombaugh, elle est longtemps restées qu'un point blanc parmis les autres planètes sur une plaque photographique. En 1978, l'astronome James Christy, lui découvre "un compagnon". C'est un satellite nommé Charon. En 1988, la Nasa découvre que la lumière de Pluton ne s'éteint pas d'un seul coup mais progressivement. Les astronomes se demandent alors comment il est possible de retrouver une atmosphère sur une planète complètement gelée. Et bien se serait la vérité. L'atmosphère de Pluton serait composée de 3 éléments : d''azote, de méthane, et de monoxyde de carbone.

Avis personnel : J'ai bien aimé cet article, tout d'abord parce qu'il m'a appris beaucoup de choses mais aussi parce qu'il touche un domaine qui m'intéresse : l'astronomie.

Science et Vie Junior, Août 2015, numéro 311, pages 42-43

Anastasia Dorange, 3A

Pourquoi tenons-nous en équilibre à vélo ?


Cela fait bientôt plus de cent cinquante ans que l'homme fait du vélo, et pourtant les chercheurs continuent à s'interroger sur la façon dont ça fonctionne. Cette question n'est pas si simple. Les physiciens ont tout d'abord pensé à l'effet gyroscopique qui dit qu'une roue en rotation résiste à tout changement que l'on voudrait appliquer à son axe de rotation. Sauf qu'il s'avère que cette hypothèse soit fausse. Pour que l'effet gyroscopique se manifeste, il faut que la roue tourne bien plus vite que dans le cas d'un vélo. Ainsi, nous pouvons rouler lentement sans pour autant tomber. Les physiciens ont donc réalisé une nouvelle expérience. Ils ont remarqué qu'en propulsant un vélo vers l'avant, aussi tôt celui-ci se penchait d'un côté et le guidon le suivait, puis il se redressait, comme par magie. Mais malheureusement, ce n'est pas de la magie. Ce phénomène se nomme "l'effet centrifuge". C'est ce que les passagers ressente lors d'un virage en voiture. Lorsque la voiture tourne à gauche, le passager est attiré à droite et inversement. L'effet centrifuge nous éloigne du centre de rotation. Ainsi, lorsque notre vélo penche à gauche avec le gidon qui suit, l'effet centrifuge s'oppose à ce virage et l'attire à l'opposé. Ce phénomène permet donc au vélo de se redresser. Bien entendu, il faut atteindre une certaine vitesse pour que ce phénomène se manifeste et c'est pour cela que si l'on roule trop lentement, on peut se retrouver par terre !

Avis personnel : J'ai aimé cet article car je me suis longtemps posées cet question et que grâce à cet article j'ai enfin compris. J'ai ainsi voulu partagé cet article car je pense qu'il peut intéresser d'autres personnes.

Science et Vie Junior, Avril 2016, numéro 319, pages 32-33

Anastasia Dorange, 3A

Ebola, des ravages sur le continent africain :

  • Pourquoi en avoir peur ?
Pourquoi, et bien tout simplement parce qu'il cause un nombre important de décès et que l'on ne possède aucun vaccin pour lutter contre. Il est extrêmement dangereux, car au début l'on pourrait croire au symptôme d'une grippe, le malade se retrouve avec une forte fièvre, des maux de têtes et de gorge, une fatigue générale, puis brusquement avec une forte diarrhées, des vomissements, et dans les cas les plus graves, des hémorragies. Après cela, les patients perdent conscience, et meurent. le plus dangereux, c'est que le virus infecte les globules blancs qui sont censées défendre le corps.

  • Mais d'où vient-il ?
D'après les scientifiques, le viendrait d'une chauve-souris. Il aurait été identifier en 1976, dans un village de la République du Congo, près de la rivière Ebola (qui a donné le nom au virus). Les habitants mangeaient les chauves-souris, le virus était tout d'abord transmis par la nourriture, puis ensuite d'homme en homme. D'après les chercheurs, une seule contamination homme-animal a donné lieu à cette épidémie.


  • Pourquoi ce virus fait-il autant de ravages ?
L'Ebola a été transmis dans un village extrêmement peuplé, et que ce virus tue 6 à 9 personnes sur 10 infectées.

  • L'épidémie peut-elle être arrêter ?
Oui, surement, mais cela va être compliqué car en absence de vaccin et de médicaments pour soigner l'ébola, le seul moyen de stopper l'épidémie serait de limiter la contamination. Pour cela, il faut repérer et confiner tous les malades. Ensuite, il faudrait aussi identifier les personnes avec qui les victimes ont été en contact pour les dépister puis les isoler. Si le virus est maintenant gérer dans une petite zone, il pourrait être possible d'arrêter l'épidémie.

  • Ebola peut-il se répandre en France ?
Non, car chaque pays développé possède des contrôle aux départs et aux arrivées des vols en provenance des pays touchés. C'est-à-dire, qu'en présence d'un cas, il serait directement mis en confinement.

Avis personnel : J'ai beaucoup aimé cet article car on a souvent entendu parler dans les médias du virus ebola mais sans vraiment connaitre tous ses détails.

Science et Vie Junior, Novembre 2014, numéro 302, pages 22-25

Anastasia Dorange, 3A

Pi, un nombre presque infini

Très tôt dans l'histoire, les Hommes ont compris qu'il y avait un rapport entre π et le diamètre d'un cercle pour calculer son périmètre. Le nom de ce nombre vient de la première lettre du mot périmètre (περίμετρος) en grec.

Ce nombre était très important pour les architectes de l'époque pour fabriquer des dômes. Sur le papyrus Rhind du scribe égyptien Ahmès (1650 av. J-C) on a retrouvé le calcul de l'aire d'un disque de diamètre 9. Il était écrit que son aire était égale à l'aire d'un carré de côté 8. Cela voulait dire que π était égal à 16/9 soi à peu près 3,16. Les Egyptiens connaissaient donc π jusqu'à la première décimale.




Après plusieurs siècles (250 av. J-C), le grec Archimède a trouvé que π était égal à environ 3,14. Pour trouver ce résultat il a utilisé des polygones à 6, 12, 24, 48 et 96 côtés parce que plus les côtés d'un polygone régulier sont nombreux plus ce polygone ressemble à un cercle. Il a ensuite comparé les dimensions de chacun et en a déduit π.

Certains mathématiciens ont continué les calculs d'Archimède sans calculatrice ni ordinateurs pour déterminer une à une les décimales de π. Certains y ont même consacré toute leur vie.

Une valeur approchée de π à 39 décimales suffirait à calculer le périmètre d'un cercle de la taille de l'univers avec une erreur plus petite que le rayon d'un atome, mais les mathématiciens aiment résoudre des mystères.

π est un nombre irrationnel : ses décimales se suivent jusqu'à l'infini sans logique précise. On peut alors trouver n'importe quelle suite de 5 ou 6 chiffres. Peut-être qu'on pourrait trouver des suites de 100 chiffres ! On dirait alors que π est un nombre univers, mais pour en être sûr il faudrait le calculer jusqu'à l'infini !

Le record est détenu par un Indien qui a appris par cœur les 70 000 premières décimales et les a ensuite récitées pendant 17h pour entrer dans le livre des records !

Aujourd'hui d'énormes ordinateurs continent à calculer π et en novembre 2015 le nombre de décimales dépassait les 22 000 milliards !

Il existe même un jour de π : Le 14/03 qui en Anglais s'écrit 3/14 !

Cet article m'a beaucoup intéressée parce que ce nombre est connu de tous jusqu'à la deuxième décimale mais personne ne sait vraiment ce qui se trouve après.

Anaëlle RAMBAUD 3°A
D'après "Pi, un nombre de folie" p 18-19
Okapi n° 1042 du 15 mars 2017




Les Terreurs De La Mer :


Le plus redoutable prédateurs des océans n'est pas un poisson, ni le grand requin blanc, ni le calamar géant : c'est l'orque. Ce sont les meilleurs chasseurs car ils sont rusés. De plus, ils ont trois grands avantages, leur poids, de 5 tonnes, leur taille de 7 mètres et leur capacité à émettre des ultra-sons. Cet écholocation leur permet de cartographier l'endroit où se situe leur proie à plusieurs mètres. Enfin, les orques ont développé des techniques imparables pour s'emparer de leurs proies :
  • Attaques de phoques : Pour cette proie, les orques ont développé deux attaques selon la situation.
- si les phoques se trouvent sur le sable : L'orque va tout d'abord s'approcher du rivage puis se propulser sur la plage afin d'y attraper les plus jeunes qu'ils mettra dans sa seule avant de se tourner pour retourner dans l'eau, et mettre à morts ses proies.



- si les phoques se trouvent sur la banquises : Les orques vont cette fois ci attaquer en groupe. Ils vont tout d'abord casser la banquise avec leur tête pour éloigner les phoques les uns des autres. Ensuite en formation serrée, ils vont former, en nageant, une vague d'un bon mètres de hauts, ce qui va propulser le pauvre phoque dans l'eau. Un orque se trouvera donc juste en dessous la geule ouverte près à l'avaler.










  • Attaques de dauphins : Les orques attaques en groupes. Ils vont s'infiltrer dans les bancs de dauphins puis en séparer un du groupe. Ils vont l'éloigner de plus en plus en l'enfermant pour ne pas qu'il s'échappe. Enfin, ils le balancent en l'air pour l'assommer puis l'avaler.

  • Attaques de requins : Cette fois ci , l'orque peut attaquer seul car le requin se déplace seul et non en bancs. L'orque va attaquer le requin par surprise et vient donner un coup de tête sur son ventre, ce qui va l'assommer (un requin ne voit pas en dessous de lui). Pendant ce temps l'orque va retourner le requin, ce qui le paralyse, puis va le remonter à la surface pour l'asphyxier. Puis, l'orque va donc pouvoir l'avaler.
  • Attaques de baleines : Les orques sont obliger d'attaquer à plusieurs cette fois. Deux à quarte orques vont devoir taper la mère dans son ventre pour l'affaiblir. Pendant ce temps, un orque affaiblie le baleineau. Après plusieurs heures, la mère sera trop fatiguer et va arrêter de se débattre. Un orque va donc se placer au dessus du petit, et deux autres en dessous de lui, pour l'entrainer vers le fond. Déjà fatiguer, le petit n'a plus de souffle et finit par s'asphyxier. Les orques peuvent ainsi le manger.

Avis personnel : J'ai trouvé cet article très intéressant car il m'a appris plusieurs choses que j'ignorais et nous fait découvrir la dangerosité de ce prédateurs, et c'est donc pour cela que j'ai voulu le partager.

Science et Vie Junior, Mars 2016, numéro 318, pages 54-59

Anastasia Dorange, 3A

mercredi 22 mars 2017

Le doublage d'un dessin animé

Tout d'abord, le dessin animé est traduit en français, ensuite l'adaptateur découpe chaque épisode en tranche de 1 à 2 minutes qui tourneront en boucle (elles sont placées sur des bandes rythmo). Cette même personne se charge de faire correspondre le texte avec les mouvements de la bouche des personnages. Il mettra donc pour traduire "come on" le mot "approche" au lieu de "viens" parce qu'il est plus proche au niveau du mouvement de la bouche.

Le comédien lit le dialogue de la bande rythmo qui défile en dessous de l'image. Chaque couleur du texte correspond à un personnage. Même les respirations sont indiquées dans le texte : une inspiration c'est une flèche qui monte, une expiration, une flèche qui descend et des crois signalent des bruits de bisous.

Pour que l'on puisse bien entendre l'acteur, il ne faut aucun bruit alors les studios sont équipés de plaques de mousse sur les murs pour absorber l'échos, les vitres et les portes sont doublées pour ne laisser passer aucun bruit.

Avant le doublage, le directeur artistique-ingénieur du son explique  à l'acteur son rôle et l'humeur qu'il doit adopter pour le passage à doubler. Après la séance, il s'occupe de mettre bout à bout tous les doublages, enlève les bruits de bouche quand on les entend trop et rajoute des sons comme la pluie ...

Pour 5 personnages principaux et une vingtaine de personnages secondaires il faut 5 acteurs différents. Le plus dur est de bien articuler et de lire la bande rythmo tout en regardant le personnage. Les acteurs font comme leur personnage : s'il court l'acteur le fera aussi.

Souvent, l'acteur arrive sans savoir quel rôle il va faire. En quelques minutes on lui explique et après avoir vu une fois la "boucle" de la bande rythmo il commence sans répéter.

Une barre maintient l'acteur à une bonne distance du micro. Il s'y agrippe pour l'aider à jouer la colère par exemple.

Je ne savais quasiment rien du doublage alors cet article m'a été très instructif.

Anaëlle RAMBAUD 3°A
D'après l'article "Silence, on double !"
p 18-19 du Okapi n°1016 du 15 janvier 2016.

lundi 20 mars 2017

Les traîneaux et leurs chiens

Les chiens en tête de l'attelage sont chargés de diriger le traîneau. Le musher (personne conduisant le traîneau) leur donne des ordres (gauche, droite, stop, ...) qu'ils suivent en entraînant le reste de l'attelage.
Les leaders (à l'avant) sont légers, rapides, intelligents et très bien dressés.

Les chiens sont capables de parcourir une centaine de kilomètres à une vitesse moyenne de 15 à 20 km/h dans la journée. Le record de vitesse est détenu pas l'Américain John Baker qui avec 10 chiens a parcouru 1770km en un peu plus de 8 jours soit 200km par jour environ.


Ce sont de grands sportifs et ils ont besoin de courir beaucoup. Leur énergie est parfaite pour tirer les traîneaux. Ils se fatiguent moins parce que même en pleine course leur colonne verticale reste droite.

Après les leaders, on trouve les swing dogs (chiens de pointe) ils sont rapides et malins; au bout d'un certain temps ils deviendront chiens de tête.
Au milieu de l'attelage, il y a les chiens d'équipe. Ils ne sont ni très rapides, ni super puissants, ni spécialement intelligents. Ils aiment juste courir.

A l'arrière de l'attelage se trouve les chiens de barre (ou wheel dogs) ils sont chargés de faire décoller le traîneau au démarrage c'est souvent le poste où se trouve le dominant de la meute parce que c'est lui le plus puissant.

Les quatre meilleurs races de chiens de traîneaux sont :
 - Le Alaskan Husky : il est polyvalent (peut faire plusieurs choses),
 - Le Husky de Sibérie : il est rapide,
 - Le Malamute de l'Alaska : il est puissant,
 - L'Esquimau du Groenland.

Le nombre de chiens dépend du poids de ce qu'il y a à tracter et de la distance à parcourir. Il varie généralement entre 6 et 12 chiens.

Quand il s'agit d'une ballade, le traîneau est en bois et pèse une trentaine de kilos mais en compétition il est fait de matériaux très légers comme le titane et ne pèse qu'une dizaine de kilos pour aller plus vite.

Le conducteur du traîneau s'appelle le musher parce qu'au Canada les conducteurs de traîneau disaient "marche !" à leur chien pour les faire avancer et en Anglais le mot est devenu "mush".

Les chiens de traîneau m'ont toujours intéressée alors cet article m'a beaucoup plu. J'ai appris plein de choses sur ces chiens grâce à lui.

Anaëlle RAMBAUD 3°A
D' après l'article "Traîneau à Grande Vitesse"
p 18-19 du Okapi N°1017 du 1er février 2016.

dimanche 19 mars 2017

Le highline, un sport de l'extrême

Ce sport est né dans les années 1980 quand deux grimpeurs ont tendu une sangle de 17m à 880m du sol entre le pic Lost Arrow et une paroi rocheuse aux Etats-Unis et ont fait la traversée.

Ce sport peut être pratiqué par tout le monde : on commence d'abord par tendre une sangle entre deux arbres et au fur et à mesure on peut la mettre de plus en plus haut. On trouve des sangles de highline dans tous les magasins de sport. Cette corde s'appelle la slackline (corde lâche), elle mesure entre 1 et 6 cm de large.

Les highliners aiment les décors comme la montagne ou les gratte-ciels. Pour s'équilibrer, ils n'utilisent que le poids de leur corps et chaque mouvement fait bouger la ligne. Il faut donc être très délicat surtout quand la sangle est tendue très haut. Traverser à une très grande hauteur est très difficile mais certains highliners très doués arrivent quand même à faire des figures durant leur traversée.

Pour éviter les dangers, ils portent un baudrier attaché à la slackline et lors des nombreuses chutes ils doivent remonter à la force de leur bras sur la corde. Il faut vraiment avoir un bon mental pour maîtriser le vertige tout en restant très concentré pour traverser. Les highlanders traversent pieds nus ou avec des baskets, cela dépend de leur préférence.

Voici quelques records :
- Jerry Miszewski (Américain) : une ligne de 214m à 92m du sol.
- Dean Potter (Américain) : une ligne de 40m à plus de 1000m du sol traversée en 2 minutes seulement.
- Sébastien Montaz-Rosset (Français) : une ligne tendue entre deux montgolfières.

J'ai bien aimé cet article parce que je trouvais ce sport un peu fou et dangereux et je voulais en apprendre plus dessus.



Anaëlle RAMBAUD 3°A
D'après l'article "Highline, les funambules de l'extrême"
Okapi n°988 du 15 octobre 2014
P.18-19

samedi 18 mars 2017

L'escalade, l'art de grimper sur les murs.

L'escalade, qui fera partie des sports olympiques en 2020, comporte trois épreuves : le bloc qui est une épreuve de force, la difficulté et la vitesse.

Le bloc demande un effort court mais intense, il faut parfois se mettre dans de drôles de positions pour pouvoir monter. Pour l 'épreuve des blocs on met de la magnésie (poudre blanche) sur les mains et des chaussons avec des semelles en gomme pour ne pas glisser sur les prises. Le mur mesure 4,50m le grimpeur monte sans harnais et peut tomber à tout moment sur des tapis posés en bas de la structure. Il y a cinq minutes et autant d' essai qu'a besoin le grimpeur pour terminer l'épreuve.

La difficulté c'est la principale épreuve d'escalade. Il s'agit en un temps limité de monter le plus haut possible. Le mur mesure 18m. Le grimpeur est accroché à une corde qu'une personne en bas du mur tient. La corde passe dans des dégaines pour qu'en cas de chute il y ait un maximum de points d'attache et qu'il soit le plus possible en sécurité. L'exercice demande beaucoup d'endurance. Le grimpeur repère les meilleures prises avant de monter parce que les plus grosses peuvent être les moins bonnes.


La vitesse est l'épreuve la plus impressionnante. Sur un mur de 15m de haut légèrement incliné, les grimpeurs doivent faire une sorte de sprint pour arriver le plus vite possible en haut. C'est l'épreuve la plus récente des trois. Le mur a deux voies pour que les grimpeurs s'affrontent dans une course. Le vainqueur est celui qui touche le buzzer en haut de la voie en premier. Il leur faut une excellente coordination pour arriver à gagner cette épreuve. Le record du monde chez les filles est de 7,53s. La Française Anouck Jaubert est la 2e avec 7,62s. Les garçons sont plus rapides : le record est détenu par un Ukrainien qui a mis 5,60s pour monter.

J'ai trouvé cet article très intéressant parce qu'on a fait de l'escalade cette année en sport et que je ne savais pas grand chose sur ce que faisaient les professionnels.

Anaëlle RAMBAUD 3°A
D'après Okapi n°1040 du 15 février 2017
P18-19
Article "Escalade, L'art de faire le mur"